La cybercriminalité est un acte qui consiste à commettre des délits sur Internet via des outils informatiques. Il peut s’agir de voler les données personnelles d’un internaute ou de pirater le système informatique d’une entreprise. Comme toute attaque pouvant nuire à la réputation d’autrui, il faut pouvoir se protéger du cybercrime, aujourd'hui puni par la loi. Avec les diverses avancées technologiques, la cybersécurité est devenue une priorité. D’ailleurs, la France est membre de la convention de Budapest contre la cybercriminalité.
La cybercriminalité consiste à se servir d’un ordinateur comme objet du crime ou comme outils pour commettre un délit. Il existe différents types de cybercrimes : piratage ou vols d’informations et de données personnelles sur le web, etc. La convention européenne sur la cybercriminalité définit cet acte comme étant toutes activités malveillantes pouvant se produire à travers les outils informatiques.
Actuellement, la connectivité à Internet est devenue un levier du développement de chaque entreprise. Toutefois, cette accessibilité accroit et facilite les attaques des cybercriminels.
Il est à noter qu’il existe trois grandes catégories de cyber crimes :
Les cybercriminels ont plus d’un tour dans leur sac et se servent de différentes méthodes pour arriver à leur fin. Les conséquences peuvent être graves et porter atteinte à l’intégrité des systèmes informatiques d’une entreprise.
La cybercriminalité peut aussi affecter le droit d’auteur à cause des données personnelles utilisées. Il est d’ailleurs constaté que la cybercriminalité a eu un impact important sur la société actuelle. Cela est dû à la hausse fulgurante des fuites de données à travers le monde.
Par conséquent, la loi française ainsi que la convention de Budapest exigent que la cybersécurité soit une priorité en Europe.
Malgré, et avec les avancées technologiques actuelles, il devient difficile d’éradiquer la cybercriminalité. Toutefois, il est recommandé d’établir quelques mesures de sécurité pour protéger ses données confidentielles. De plus, la loi française ainsi que la convention de Budapest exigent que tous les organismes disposent de systèmes de sécurité pouvant limiter les attaques.
Cette solution est particulièrement recommandée pour toute entreprise traitant des données sensibles. Il existe plusieurs services et plusieurs outils qui proposent un système d’authentification à multiple facteur. Cette solution est utile pour garantir la sécurité et le droit d’accès des utilisateurs. Certaines solutions de sécurité permettent également de sécuriser l’échange d’information d’un service vers un autre.
L’utilisation d’un VPN (réseau privé virtuel) est une excellente alternative pour se protéger du cybercrime. Le VPN a pour rôle de chiffrer toutes les données sortant de l’appareil, de cette façon, les cyberattaquants ne pourront pas passer au piratage de la ligne de communication. Le VPN est très utile lorsque l’on utilise un WIFI public.
Ce conseil est très important, car un mot de passe peu sûr c’est la garantie de se faire attaquer. De ce fait, il est recommandé de ne pas utiliser le même mot de passe pour réduire les risques d’attaques. Il faut miser sur des mots de passe longs et composés de divers caractères.
Ce conseil est surtout utile pour les organismes. En effet, les attaques peuvent venir de l’intérieur : personnels malveillants, failles de sécurité, etc. De ce fait, les employés ont le droit de connaitre les risques liés à la divulgation de données et d’informations personnelles.
Une assurance cyber sécurité est un dispositif permettant de protéger les entreprises contre la cybercriminalité. Elle veille également à ce que l’assuré puisse subvenir à ses besoins de sécurité.
L’assurance cyber sécurité est très utile dans un contexte où les données personnelles fuitent beaucoup. De plus, les attaques peuvent venir de l’intérieur de l’entreprise elle-même.
L’assurance cyber sécurité couvre :
Les préjudices immatériels causés par le cybercrime. Elle permet de restaurer les systèmes, de remplacer les logiciels informatiques qui ont été attaqués ;
La totalité des frais de la cyberattaque dans l’entreprise victime. De plus, elle peut faire appel à des professionnels pour trouver la source des attaques ;
La protection juridique en cas de divulgation de données des clients, employés ou prestataires ;
La perte de données ou encore de gains à cause des attaques.
La cybercriminalité est un fléau auquel de plus en plus d’États essaient de faire face pour s’en débarrasser. Cependant, les avancées technologiques ne permettent pas de réduire le taux de cybercrime dans le monde. De plus, les auteurs renouvellent en permanence leur manière d’attaquer leurs victimes.
Il ne faut pas hésiter à renforcer continuellement son système de sécurité et à sensibiliser/former ses employés.
La souscription à une assurance cybersécurité est aussi une option.
Cette opération peut se faire en seulement trois minutes sur le site d’assurup. À partir de 39,58 euros mensuels, vous serez épaulés contre les cyberattaques et votre e-réputation sera aussi sous bonne garde.
Loup solitaire, individu à lunette enfermée occupé à tapoter sur le clavier de son ordinateur dans une sombre pièce … Voilà le cliché du hacker ou du cybercriminel auquel on pense. Toutefois, l’apparence est trompeuse et n’importe qui peut être un potentiel cyberattaquant.
Les criminels du web agissent souvent en groupe et se situent dans des pays où les lois en rapport avec la cybersécurité ne sont pas très strictes. Ce sont bien évidemment des personnes qui disposent d’un maximum de connaissances informatiques en matière d’utilisation d’Internet et de ses failles. Toutefois, cela n’empêche pas que ces individus malveillants fassent cavalier seul. Les cybercriminels peuvent aussi travailler pour une organisation spécifique ou pour le gouvernement d’un pays.
Les motivations quant à elles sont nombreuses et concernent le plus souvent l’argent ou encore le besoin de pouvoir. Pour d’autres, le cybercrime permet juste de compromettre la réputation d’une personne ou d’une entreprise. Il peut aussi être utilisé à des fins politiques.
Comme expliqué antérieurement, la cybercriminalité est divisée en trois grandes catégories, et celles-ci se divisent en plusieurs méthodes. Il est à noter que les cybermalfaiteurs renouvellent constamment leurs attaques qui deviennent de plus en plus performantes. De plus, ils utilisent des codes et des logiciels ultra-efficaces.
Les attaques DDoS (Distributed Denial of Service) sont une technique bien connue et répétitive de la cybercriminalité. Cela consiste à envoyer plusieurs requêtes à une ressource web. Le but étant de compromettre le fonctionnement du site internet. Celui-ci sera dans ce cas bloqué pendant une durée indéterminée, c’est ce que l’on appelle déni de service. Les attaques DDoS causent des troubles, mais ne sont pas considérées comme étant les actes les plus agressifs.
Le phishing aussi appelé hameçonnage est également une technique très répandue dans la cybercriminalité. C’est une forme de fraude et de piratage en ligne. Le phishing est une technique où le cyberattaquant va envoyer un lien à sa victime par email ou sur les réseaux sociaux en se faisant passer pour un organisme que vous connaissez (banque, CAF, etc.). Soit le cybermalfaiteur demandera de suivre un lien, soit il demandera de renseigner des données personnelles telles que les coordonnées bancaires.
Il est constaté, d’après les études menées par la CNIL, que le taux de phishing sur le sol français en 2022 a augmenté et est à 38% en 2022.
Les PUPS (Potentially Unwanted Programs) sont une méthode de cybercrime impliquant l’installation de malware ou de logiciels informatiques malveillants. Les logiciels en question vont désinstaller les applications de l’appareil et nuire à la sécurité de celui-ci. De cette façon, les cybermalfaiteurs pourront facilement récupérer les données personnelles de l’utilisateur.
Cette technique indémodable de la cybercriminalité concerne les particuliers comme les entreprises. Le piratage de logiciel permet aux cyberattaquants d’accéder à des données confidentielles concernant un tiers ou une entreprise. Ils s’en servent généralement pour faire du chantage à leur victime ou pour commettre des infractions ni vu ni connu.
Le cryptojacking est un processus permettant aux cyberattaquants de placer des malwares au sein d’un système informatique ou d’un appareil. Ce, dans le but de miner les cryptomonnaies de leur victime. En d’autres termes, le cryptojacking est une forme de fraude effectuée par les cybercriminels.
Petit rappel : cette liste de méthodes n’est pas exhaustive. Le cybercrime peut prendre plusieurs formes et se produire de diverses façons. De plus, les cyberattaquants innovent leur technique au fil des années. De ce fait, il ne faut pas hésiter à investir dans des solutions de sécurité pour protéger ses informations personnelles.
Sur certains continents, notamment en Europe, la cyber criminalité est un problème contre lequel il faut à tout prix lutter. Dans cette optique, des lois ont été mises en place pour réussir à éradiquer le cybercrime.
On retrouve notamment :
La loi Godfrain du 5 janvier 1988 qui est une législation française visant à punir les cyberattaquants ;
La loi Renseignement qui a été votée en France en 2015 et dont les services de renseignement en sont les principaux acteurs. Cette loi française prévoit une peine de 5 ans pour les cybercriminels et 75.000 euros d’amendes.
La convention de Budapest qui regroupe 68 pays et qui a pour objectif de réduire au maximum les risques d’attaques cybercrime.
La cybercriminalité concerne des actes malveillants impliquant un réseau, un système informatique et un ordinateur. Le cybercrime est commis par des personnes appelées cybercriminels ou hackers dont le principal but est de soutirer des données personnelles pour leurs propres avantages.
Ces malfaiteurs travaillent le plus souvent en groupe et se servent de plusieurs méthodes pour arriver à leur fin. On peut par exemple citer :
3SI ou Agence nationale de sécurité des systèmes d’information est l’organisme qui est 3en charge de la cybersécurité en France. Elle prévient et protège contre les attaques des cybercriminels tout comme elle garantit la sécurité nationale.
Il y a également la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) qui s’assure que chaque entreprise ou organisation respecte les règlementations concernant le RGPD.
L’assurance cyber sécurité présente plusieurs avantages pour les professionnels.
On peut notamment citer :